Voici une question posée a cheikh 'Ubayd al Jabiri sur ce sujet:
La sœur : - « Qu’Allah vous récompense de la meilleure façon... Et si une femme se fait violer, lui est-il permis d’avorter dans ce cas? »
Le Cheikh : - « Avant que le fœtus ne finisse son étape de « Noutfa », c’est à dire avant que l’âme ne soit insufflée, certains savants disent qu’il n’y a pas de mal »
La sœur : - « Qu’Allah vous récompense de la meilleure façon »
Traduction de oummou Yassir
tiré de al Baida
DEUXIEME AVIS
Voici les réponses du Cheikh Maher ibn Dafer al Qahtani:
Le viol est considéré comme un péché capial et une injure interdite, que ce soit avec une musulmane, une non musulmane, ou un enfant.
Et le prophète
a dit: "Votre sang, votre argent et votre honneur vous sont interdits."
Et celle qui a été victime du viol alors qu'elle vit dans un pays non musulman ne peut pas "avoir justice", mais si elle peut le prouver dan un pays musulman, alors qu'elle le fasse.
Si elle veut, qu'elle patiente, et cache ce qui lui est arrivé.
Si elle a eu un bébé, qu'elle le donne à quelqu'un qui peut en prendre soin.
Pour l'avortement, elle ne peut pas avorter après que l'Ange ait insufflé l'âme au bébé.
wa Allahou ahlem