Après la mort d’un « devin » (kâhin) « divinateur » (‘arrâf) nous est-il permis de prier sur eux [sachant] qu’ils [accomplissaient] la prière ou la négligée ?
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Réponse du Comité Permanent – qu’Allâh les récompense – :
Si le kâhin et le devin meurent alors qu’ils demeurèrent [jusqu’à la fin] tous les deux dans leur situation connue [qui est] leur présomption de connaître la science de l’Inconnu (‘ilmu al-ghayb), dans ce cas nous n’accomplirons pas la prière [mortuaire] sur eux, même s’ils priaient tous les deux car leur prétention de connaître le savoir de l’Inconnu est une mécréance qui annule (rend vain) la salât ainsi que d’autres [actes d’adorations].